L’aventure «Si on s’aimait» est peut-être terminée pour eux, mais Vicky et François, participants de la troisième saison de la téléréalité de TVA, sont encore très amoureux.

Complice et taquin, le tandem effectuait une sortie mondaine, mercredi soir, à la première de «Céleste», nouveau spectacle du Cirque Éloize, au Fairmont Reine Elizabeth, à Montréal.

Premier couple ayant traversé toutes les étapes du concept de «Si on s’aimait», sous le gentil parrainage de la sexologue-thérapeute Louise Sigouin et, surtout, ayant survécu une fois les caméras éteintes, Vicky et François se sont incontestablement taillé une place dans le cœur du public, qui a justement perçu l’authenticité de leurs sentiments.

«On rencontre constamment des gens, tous les jours, quand on sort. Les gens nous disent qu’on était leur couple chouchou, qu’ils nous ont beaucoup aimés. Ils nous parlent comme si on était leur cousin, leur cousine, des amis qui passent. C’est agréable, parce que, nous, on est deux personnes chaleureuses»,  a expliqué Vicky en entrevue avec Sous les projecteurs, pendant que son homme opinait à ses côtés.

«Le monde est tellement fin et respectueux, a approuvé François. Ils respectent notre intimité. Ils viennent nous voir en étant un peu gênés. C’est un petit peu drôle…»

Chacun chez soi

Vicky, 51 ans, stratège en formation, et François, 58 ans, préposé aux édifices et conseiller en voyage, ne cohabitent pas encore, pour le moment. Chacun conserve sa résidence, lui à Delson, en Montérégie, tandis qu’elle est propriétaire d’un triplex dans Hochelaga-Maisonneuve.

«Vendu au 450», selon sa douce, François blague d’ailleurs qu’il connaît maintenant par cœur le pont Jacques-Cartier, et qu’il peine à trouver du stationnement dans «le 514».
Les tourtereaux se laissent du temps avant d’effectuer le grand saut d’emménager ensemble.

«On se voit les fins de semaine, ou de temps en temps dans la semaine quand on veut sortir», soutient Vicky.

Terrain d’entente

Inspirant aux yeux de plusieurs, le duo ne cache pas qu’il se fait souvent demander la recette secrète d’un couple durable.

«On répond aux gens que c’est possible, mais que ça prend du travail! Ce n’est pas parce qu’on a passé à la télé que c’est plus beau que d’autres couples…», a spécifié Vicky, qui n’avait pas beaucoup vécu de longues relations dans le passé.

«On a été privilégiés d’avoir Louise (Sigouin), parce qu’on avait déjà eu des problèmes dans nos « patterns » amoureux, autrefois. Mais grâce aux bons conseils qu’on a reçus, on a bien avancé», a enchaîné François.

N’empêche, les partenaires doivent parfois trouver des terrains d’entente. Comme plus tôt cette semaine, lorsqu’ils ont posé le geste de fermer leur page Facebook commune. Alors que Vicky était triste de laisser aller ce contact avec les internautes, qu’ils entretenaient depuis trois mois, François sentait le besoin de se réapproprier leur intimité.

«Je n’avais jamais mis ma vie privée sur les réseaux sociaux, et j’ai réalisé que ça ne me ressemblait pas, a exposé François. Moi, je suis plus « low profile ». Je donne à des causes, mais ce n’est jamais François qui est en avant. Là, je trouvais qu’on avait fait le tour et que c’était correct de prendre du recul. Je serai toujours content que les gens nous reconnaissent, mais c’est maintenant le temps de s’occuper de nous.»

Vicky et François laissent néanmoins miroiter qu’ils ont des projets communs et qu’on pourrait les revoir ailleurs éventuellement… À suivre!

Une quatrième saison de «Si on s’aimait» sera diffusée à TVA en 2022.

Crédit photo : Sous les projecteurs 

Marie-Josée R.Roy

Marie-Josée R.Roy

Fondatrice / Rédactrice en chef / Journaliste

Fondatrice, rédactrice en chef et journaliste de Sous les projecteurs, je dévore de la culture québécoise depuis l’enfance et n’ai qu’un objectif, la faire rayonner à travers mes articles, et ce, depuis près de 15 ans. Anciennement journaliste chez Allô Vedettes, HuffPost Québec et l’Agence QMI.

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